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18 mars 2012 7 18 /03 /mars /2012 15:03

Voici une vidéo montrant Mireille PEIRANO, notre candidate aux législatives s'engager fortement contre le mal-logement, après s'être indignée sobrement après le triste record de morts dans la rue atteint cet hiver dans notre département.

 

 

 

Vous retrouverez un article plus complet sur lien suivant : http://blog.tv83.info/2012/03/16/certains-parlent-dautres-agissent/

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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 13:49

Mireille PEIRANO

Candidate aux élections législatives dans la deuxième circonscription du Var

Secrétaire fédérale du Parti Socialiste dans le Var

Vice-présidente du Conseil Régional Provence-Alpes-Côte d’Azur

Viendra vous rencontrer à Sainte-Anne d’Évenos :

 

Le MARDI 20 MARS

A 18 h 30

A la Salle E.S.P.A.C.E

17 Traverse de l’Eglise Sainte-Anne - 83330 Evenos

 

Pour échanger avec vous sur les 60 propositions de François Hollande et sur tous les sujets qui vous concernent.

 

ps.jpgmrc prg.JPGLe changement c’est vous, le changement c’est maintenant

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13 mars 2012 2 13 /03 /mars /2012 22:24



Mot-à-mot, J-44 par PartiSocialiste

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6 mars 2012 2 06 /03 /mars /2012 22:34

On peut rouler à vélo comme le suggèrait Christine Lagarde. Ou alors, on rétablit les taxes flottantes pour diminuer le prix de l'essence à la pompe. Bientôt, ce sera à vous de choisir !

hebdo_642_4eme.JPG

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6 mars 2012 2 06 /03 /mars /2012 20:43

Le candidat sortant participe ce soir à l'émission «Des paroles et des actes» sur France 2. C'est le moment de lui rappeler ses promesses: les «nominations irréprochables», un gouvernement de quinze ministres «maximum», et la promesse d'une «démocratie moderne qui sera exemplaire au regard du monde»...

La République irréprochable : 5 ans de scandales
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27 février 2012 1 27 /02 /février /2012 17:52

«Je mettrai tout en oeuvre pour assurer, non pas la préservation de notre agriculture, mais son développement» assurait Nicolas Sarkozy en janvier 2010.

 

Le bilan de Nicolas Sarkozy est en réalité désastreux pour notre agriculture.

A la fin de la vidéo, vous pouvez choisir entre  deux liens (on continue ou on change ?) qui menent à l'infographie bilan de Nicolas Sarkozy ou aux propositions de François Hollande. Une vidéo cliquable exclusive à diffuser autour de vous alors que s'ouvre le salon de l'agriculture.

 

 

Alors on continue ou on change ?

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24 février 2012 5 24 /02 /février /2012 17:21
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23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 22:37

Le président-candidat a encore eu une drôle d'idée : l'augmentation de la TVA.

 

À qui cela profite-t-il ? Une chose est sure : pas au pouvoir d'achat des Français !





La TVA "sociale", le coup de poker du candidat...
par PartiSocialiste
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22 février 2012 3 22 /02 /février /2012 06:03

Le combat continue pour sauver la maternité de la Seyne-sur-Mer.

 

Vous pouvez le suivre plus précisément sur le site : sauvons-la-maternite-2011.over-blog.com

 

Une mobilisation est prévue le 25 février à 10h00 au stade Léry, voici l'affiche ci-dessous :

mobilisation_25_fevrier.jpg

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20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 14:57

     Voici un article du Monde, dans lequel un conseiller élyséen de Nicolas Sarkozy ne peut plus supporter ni ses réformes, ni ses méthodes de gestion, du pays et de ses problèmes.

Sa conclusion est sans appel : seul François Hollande et son équipe peuvent permettre à la France de se relever.

 

     L'article est ci-dessous, vous pouvez aussi cliquer ici pour le consulter sur le site du journal Le Monde.

 

 

 

"Après deux ans auprès du Président Sarkozy, pourquoi je voterai Hollande"

par Dominique Antoine, ancien conseiller éducation, culture, jeunesse et sports du président de la République (2007-2009)


     J'ai travaillé deux ans dans l'équipe de Nicolas Sarkozy à l'Elysée. C'était un honneur. Ce furent deux années d'espérances déçues. "20 % de nos jeunes quittent l'école sans qualification, je ne peux m'y résoudre", avait écrit le candidat en 2007. Le technicien que j'étais faisait confiance à l'énergie de cet homme politique hors norme, à son discours républicain, à sa volonté de rupture. "Que tous les enfants sortent de l'école avec le bagage nécessaire pour réussir leur vie d'adulte", disait encore le programme.


     Dans le domaine éducatif, que retiendra-t-on de ce quinquennat ? 80 000 suppressions d'emplois, la fin de l'année initiale de formation des maîtres, la semaine de quatre jours à l'école primaire. Même si l'on place, dans l'autre plateau, les évaluations généralisées des compétences des élèves, le bilan est maigre.

 

     Je m'en suis longtemps voulu de n'avoir pas su me faire entendre du président. Avec le recul, je pense que c'était mission impossible.

     Car dans le premier cercle des conseillers présidentiels - dont je n'étais pas -, la mêlée des conservateurs, des libéraux et des budgétaires formait un rideau infranchissable.

     Les conservateurs manifestaient une haute ambition : ils voulaient rétablir l'autorité des savoirs et des professeurs. Prisonniers d'une imagerie surannée et d'une obsession mémorielle, ils se référaient malheureusement à une éducation nationale de cocagne où les maîtres se seraient réjouis de recevoir une lettre de leur président, ou bien de lire à leurs élèves, à la demande du président, la lettre d'un jeune résistant, ou encore de jumeler chaque enfant des écoles avec le fantôme d'un enfant juif gazé dans les camps.

     Les libéraux, en quête d'efficience managériale, voulaient appliquer la logique du marché en offrant aux parents le libre choix de leur établissement.

     Enfin les budgétaires, pour complaire à la finance internationale, voulaient soutirer des dizaines de milliers d'emplois à un ministère jugé par principe dispendieux.

     La vérité est que tous méconnaissaient la réalité concrète du métier de professeur, les conditions d'exercice dans les quartiers sensibles, les impasses de l'orientation pour les élèves peu doués ou défavorisés socialement. Au fond, ils idéalisaient l'éducation nationale mais ne l'aimaient pas, car elle votait mal et leur faisait peur. Et ils convenaient, à la suite du chef de l'Etat lui-même, que les priorités étaient ailleurs, dans l'économique et le social, dans l'international, la défense, la sécurité intérieure.

 

Immobilisme contraint

 

     En 2007, le candidat Sarkozy affirmait dans son programme : "Il est possible de changer l'école." Mais à la première vaguelette, il a demandé à Xavier Darcos de remballer sa réforme du lycée et a inventé la médiation de Richard Descoings pour gagner du temps. Du temps que Luc Chatel doit trouver long, tant il peine, malgré son dévouement à la cause de l'école et son talent de communicant, à chanter l'immobilisme auquel il est contraint.

     Alors, quand Nicolas Sarkozy dit à Laurence Ferrari que, s'il est réélu, il faudra "changer l'éducation nationale", on ne le croit plus. Et l'on prête attention à l'équipe d'en face. En face, c'est François Hollande, et sa préoccupation constante de l'avenir de la jeunesse. Un candidat qui rappelle régulièrement que, dans notre pays, l'histoire de la République se confond avec l'histoire de l'école.

     Il a auprès de lui Vincent Peillon, qui connaît bien l'éducation nationale et pas seulement les lycées de centre-ville et les classes préparatoires. Il a compris l'inanité des réformes imposées du haut de la rue de Grenelle. Son axe est pédagogique : pour lui, c'est dans la classe, dans la relation maître-élève, que se joue l'amélioration de l'école. Il fonde tout son projet sur la recherche-action, la diffusion des bonnes pratiques, la formation des maîtres. Et il en tire les conséquences sur les réformes à mener.

     Je connais les principaux experts qui, autour de Vincent Peillon, forment l'équipe "éducation" du candidat socialiste. Ce sont les mieux informés, les plus intelligents, les plus clairvoyants du moment. C'est à eux qu'il faut faire confiance si l'on veut que l'école progresse.

Je ne sais pas si mon ancien professeur d'économie à Sciences Po, François Hollande, parviendra à créer 60 000 emplois en cinq ans au bénéfice de l'éducation nationale. Je le souhaite, parce que j'ai la conviction que ces moyens seraient utiles à l'école et qu'ils ne seraient pas gaspillés. En annoncer le principe montre en tout cas que l'éducation sera bien, si François Hollande est élu, une priorité nationale.



 

     En 2002, Dominique Antoine avait été nommé directeur de cabinet de Xavier Darcos, ministre délégué à l'enseignement scolaire, et directeur adjoint de celui de Luc Ferry, ministre de l'éducation nationale.

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